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Création 2024 (Pavillon ADC / La Bâtie – Festival de Genève)
Durée : 50 min / 30 min (Jeune public, à partir de 6 ans)
Conception, dispositif et interprétation Aurélien Dougé Chorégraphie en collaboration avec Cindy Van Acker Lumière en collaboration avec Luc Gendroz Création sonore et interprétation en direct Rudy Decelière Régie lumière Mansour Walter Production Inkörper
Diffusion Bureau Ledou (Tristan Barani, Clémence Faravel, Lola Serre) Administration Melinda Quadir-Mathieu Coproduction Pavillon ADC, La Bâtie – Festival de Genève, Le Lieu Unique - Scène nationale de Nantes, Cndc Angers, Centre des Arts de Genève Soutiens à la création Département de la culture de la ville de Genève, Ernst Göhner Stiftung, FEEIG – Fonds d’encouragement à l’emploi des personnes salariées intermittentes genevoises, Fondation Leenaards, Fonds Mécénat SIG, République et canton de Genève, Pro Helvetia - Fondation suisse pour la culture Accueils en résidence CN D - Centre national de la danse, Cndc Angers, La vie brève Théâtre de l’Aquarium, Le CENTQUATRE - PARIS, Le Lieu Unique - Scène nationale de Nantes, Le Pacifique – CDCN Grenoble Auvergne-Rhône-Alpes, Pavillon ADC Soutiens à la diffusion Pro Helvetia - Fondation suisse pour la culture, République et canton de Genève, Corodis.
Cliquez sur les dates pour en savoir plus
30 août-3 sept. 2024 — La Bâtie Festival + Pavillon ADC, Genève (CH)
27-28 nov. 2024 — Atelier de Paris CDCN, Paris (FR)
25 mars 2025 —
Le Lieu Unique, Nantes (FR)
28 mars 2025 — Cndc, Festival Conversations, Angers (FR)
12-16 janv. 2026 — Pavillon ADC, Genève (CH) (scolaires)
12 mars 2026 — Le Dancing CDNC, Dijon (FR)
« Aurélien Dougé, en collaboration avec Cindy Van Acker, a trouvé un langage totalement inédit qui démultiplie les moyens du corps dansant, en révèle des possibles inexplorés et magnifie l’art chorégraphique. » — Cécile Dalla Torre, Le Courrier.
« Mouvements, photons et vibrations sonores s’allient pour composer un dialogue tout à fait bouleversant entre visible et invisible, présence et absence. Le creux se matérialise sous nos yeux, le plein s’évanouit dans un ballet qui décline soudain le sens au singulier et au pluriel. » — Katia Berger, La Tribune de Genève.
« C’est sans doute son autre casquette de plasticien qui a guidé Aurélien Dougé dans les méandres de cette nouvelle création, qui offre une tentative captivante d’habiter l’espace. Inspiré par des résidences de recherche à New York, au Japon ou dans les Alpes suisses, il a arpenté des territoires par la marche, tout en glanant des gestes, en expérimentant les territoires dans leurs dimensions géographiques et culturelles. Aux Lointains traduit, dans l’épure du plateau et le dispositif lumineux, une forme de voyage minimal mais puissant. » — Nathalie Yokel, La Terrasse.
« Mouvements, photons et vibrations sonores s’allient pour composer un dialogue tout à fait bouleversant entre visible et invisible, présence et absence. Le creux se matérialise sous nos yeux, le plein s’évanouit dans un ballet qui décline soudain le sens au singulier et au pluriel. » — Katia Berger, La Tribune de Genève.
« C’est sans doute son autre casquette de plasticien qui a guidé Aurélien Dougé dans les méandres de cette nouvelle création, qui offre une tentative captivante d’habiter l’espace. Inspiré par des résidences de recherche à New York, au Japon ou dans les Alpes suisses, il a arpenté des territoires par la marche, tout en glanant des gestes, en expérimentant les territoires dans leurs dimensions géographiques et culturelles. Aux Lointains traduit, dans l’épure du plateau et le dispositif lumineux, une forme de voyage minimal mais puissant. » — Nathalie Yokel, La Terrasse.